blog d'informations sur ce village situé dans l'Orne en Normandie 61. cette charmante commune se situé à 249 mètres d'altitude dans les collines de la suisse Normande et elle s'étend sur 8,5 km² . La Rouvre est le principal cours d'eau .
samedi 3 décembre 2016
Correspondance
"La + à droite vous indique la maison du directeur de la tante N."
"Ma petite maison routes des Tourailles"
Arrivée
dimanche 27 novembre 2016
Auguste, Eugène GUÉRIN 1916
Auguste, Eugène GUÉRIN est Soldat au 94e Régiment d'Infanterie il était née le 3 février 1882 à Sainte Opportune, il disparu le 31 octobre 1916 à l'age de 34 ans pendant la bataille de la somme et l'offensive sur Sailly Saillisel.
Le 6 octobre se déclencha l'offensive sur Sailly Saillisel.
Pour approcher du village, il fallait enlever les tranchées de Carlsbad, de Terplitz et de Berlin, ainsi que les ouvrages de défense : forteresses et nids de mitrailleuses de la lisière du bois de Saint-Pierre-Waast et fortifications dénommées Ouvrages Tripot, aux abords ouest du château de Sailly-Saillisel. Cela représentait une avance d'au moins 1200 mètres. L'assaut fut donné à 14 heures, sur un front de vingt-cinq kilomètres, par un temps gris, froid et sec. Une heure plus tard, la plupart des objectifs étaient atteints et certains même dépassés. Nous couronnions alors les pentes ouest de la croupe de Sailly-Saillisel; nous tenions toute la route de Bapaume, à deux cents mètres environ au sud de l'entrée du village et nous bordions les lisières ouest et sud-ouest du bois de Saint Pierre Waast, d'où nos lignes se dirigeaient ensuite vers l'Epine-de-Malassise et la cote 130, au sud est de Bouchavesnes, face au Mont-Saint-Quentin. Le château de Sailly tomba presque aussitôt en notre pouvoir et constitua, pour nous, un sérieux point d'appui. Une semaine s'écoula, que nos troupes mirent à profit pour consolider leurs positions, en dépit des contre-attaques fréquentes et acharnées qu'elles eurent à repousser. Dans la nuit du 15 au 16 octobre, la 6e compagnie du 150e régiment d'infanterie (4e division) pénétra dans Sailly-Saillisel ou, jusqu'alors, des patrouilles avaient pu, seules, s'aventurer. Les maisons en bordure de la route de Bapaume furent occupées jusqu'au carrefour central. Ce fut la guerre de rues...
On se battait de maison à maison, de grange a grange, a la grenade. Chaque pan de mur était un refuge. Chaque soupirail abritait une mitrailleuse qui balayait la rue. Centimètre par centimètre, pierre par pierre, il fallut conquérir le village que l'ennemi défendait âprement. Il faut savoir que Sailly-Saillisel est juché sur un plateau éminent ; Sa possession était donc de prime importance.
Le 14 novembre, l'ennemi nous chassait de nouveau de Saillisel ainsi que des points que nous tenions à la corne nord et à la lisière ouest du bois de Saint-Pierre-Waast. Nos lignes, de nouveau, redevenaient ce qu'elles étaient le 18 octobre. Près d'un mois avait passé en efforts stériles et coûteux !
source 1916
Est-il sur cette photo du 94e RI prise en 1915
(Peut être au second rang sans la casquette nous dit une de ses descendantes Marielle LEMARCHAND ;
un de ses arrières grand père était le frère d'Auguste Guérin..)
Le 6 octobre se déclencha l'offensive sur Sailly Saillisel.
Pour approcher du village, il fallait enlever les tranchées de Carlsbad, de Terplitz et de Berlin, ainsi que les ouvrages de défense : forteresses et nids de mitrailleuses de la lisière du bois de Saint-Pierre-Waast et fortifications dénommées Ouvrages Tripot, aux abords ouest du château de Sailly-Saillisel. Cela représentait une avance d'au moins 1200 mètres. L'assaut fut donné à 14 heures, sur un front de vingt-cinq kilomètres, par un temps gris, froid et sec. Une heure plus tard, la plupart des objectifs étaient atteints et certains même dépassés. Nous couronnions alors les pentes ouest de la croupe de Sailly-Saillisel; nous tenions toute la route de Bapaume, à deux cents mètres environ au sud de l'entrée du village et nous bordions les lisières ouest et sud-ouest du bois de Saint Pierre Waast, d'où nos lignes se dirigeaient ensuite vers l'Epine-de-Malassise et la cote 130, au sud est de Bouchavesnes, face au Mont-Saint-Quentin. Le château de Sailly tomba presque aussitôt en notre pouvoir et constitua, pour nous, un sérieux point d'appui. Une semaine s'écoula, que nos troupes mirent à profit pour consolider leurs positions, en dépit des contre-attaques fréquentes et acharnées qu'elles eurent à repousser. Dans la nuit du 15 au 16 octobre, la 6e compagnie du 150e régiment d'infanterie (4e division) pénétra dans Sailly-Saillisel ou, jusqu'alors, des patrouilles avaient pu, seules, s'aventurer. Les maisons en bordure de la route de Bapaume furent occupées jusqu'au carrefour central. Ce fut la guerre de rues...
On se battait de maison à maison, de grange a grange, a la grenade. Chaque pan de mur était un refuge. Chaque soupirail abritait une mitrailleuse qui balayait la rue. Centimètre par centimètre, pierre par pierre, il fallut conquérir le village que l'ennemi défendait âprement. Il faut savoir que Sailly-Saillisel est juché sur un plateau éminent ; Sa possession était donc de prime importance.
Le 14 novembre, l'ennemi nous chassait de nouveau de Saillisel ainsi que des points que nous tenions à la corne nord et à la lisière ouest du bois de Saint-Pierre-Waast. Nos lignes, de nouveau, redevenaient ce qu'elles étaient le 18 octobre. Près d'un mois avait passé en efforts stériles et coûteux !
source 1916
Philiber GRIMBERT Mort pour la France . il y a 100 ans
Philiber GRIMBERT est né le 21 décembre 1893 à Sainte Opportune. il est Canonnier servant au 106e Régiment d'Artillerie Lourde Hippomobile son Matricule au recrutement était le n° 1051 -
Il meure le 20 septembre 1916 à l'age de 22 ans à la bataille de la Somme au "Bois de Hem" :
31 août Sur le front de la Somme, activité moyenne d'artillerie. Le mauvais temps continue
L'artillerie lourde s'étant avancée sur le terrain conquis, un effroyable bombardement recommença et se remit à broyer les lignes ennemies : obus de 400, de 380, de 270, s'abattirent pendant plusieurs jours, en vue d'une nouvelle grande attaque : celle-ci était fixée au 3 septembre. Le temps s'était mis à la pluie ; et la boue, cette fameuse boue de la Somme, qui devait rester légendaire, commençait à faire parler d'elle.
Le 12, grande attaque des Français entre Morval et la Somme toute la première ligne ennemie est emportée, les objectifs sont dépassés par une troupe admirable d'ardeur, et Bouchavesnes succombe; on menace maintenant Péronne par le nord. Enfin, le 15, les Anglais de Rawlinson, à leur tour, s'élancent sur un front de 10 kilomètres. Là, pour la première fois, font leur apparition, sur le champ de bataille, « d'énormes, de terrifiantes machines qui, vomissant le feu par toutes leurs ouvertures, gravissent en courant les pentes les plus abruptes, renversent tous les obstacles, traversent en se jouant les plus solides défenses, les réseaux de fil de fer les plus inextricables, les nids de mitrailleuses les plus meurtriers, broyant tout, écrasant tout, semant partout l'émerveillement, l'épouvante et la mort: ce sont les tanks, ou chars d'assaut, qui, perfectionnés et multipliés, couronneront un jour la totale défaite allemande. » Le combat dura trois jours, et le « tableau en fut magnifique : avec 4000 prisonniers, Courcelette, Martinpuich, le bois des Fourcaux, le village de Flers. Et, à cette même date du 17, la 1e Armée française prenait Vermandovillers et Berny. Les combats, cependant, il faut bien le reconnaître, devenaient de plus en plus difficiles. Le temps était franchement mauvais : pluie, pluie, pluie, et, de plus en plus, des flots de boue : la bataille « s'enlisait » Et puis, aussi, l'ennemi réagissait avec un courage et un entêtement auxquels on est bien obligé de rendre éloge, surtout pendant ces batailles de septembre...
...Certes, rien de tout cela n'eût été capable d'arrêter les fantassins de France : le 25 septembre encore, dans un élan irrésistible, ils emportaient Rancourt
Et, le 26 enfin, journée glorieuse : les deux Armées se donnaient la main dans Combles.
Pierre Loti, qui visita « l'enfer de la Somme », a écrit, sur ces paysages sinistres, quelques pages saisissantes qu'on voudrait pouvoir citer toutes : « ... Par degrés, nous pénétrons dans ces zones inimaginables à force de tristesse et de hideur, que l'on a récemment qualifiées de lunaires. La route, réparée en hâte depuis notre récente avance française, est encore à peu près possible, mais n'a, pour ainsi dire, plus d'arbres de l'allée d'autrefois restent seulement quelques troncs, pour la plupart fracassés, déchiquetés à hauteur d'homme ; et, quand au pays à l'entour, il ne ressemble plus à rien de terrestre : on croirait plutôt, c'est vrai, traverser une carte de la Lune, avec ces milliers de trous arrondis, imitant des boursouflures crevées. Mais, dans la Lune, au moins, il ne pleut pas ; tandis qu'ici tout cela est plein d'eau à l'infini, ce sont des séries de cuvettes trop remplies, que l'averse inexorable fait déborder les unes sur les autres ; la terre des champs, la terre féconde, avait été faite pour être maintenue parle feutrage des herbes et des plantes; mais, ici, un déluge de fer l'a tellement criblée, brassée, retournée, qu'elle ne représente plus qu'une immonde bouillie brune, où tout s'enfonce. Çà et là, des tas informes de décombres, d'où pointent encore des poutres calcinées ou des ferrailles tordues, marquent la place où furent les villages »
source : - somme curlu , Régiment
Il meure le 20 septembre 1916 à l'age de 22 ans à la bataille de la Somme au "Bois de Hem" :
L'artillerie lourde s'étant avancée sur le terrain conquis, un effroyable bombardement recommença et se remit à broyer les lignes ennemies : obus de 400, de 380, de 270, s'abattirent pendant plusieurs jours, en vue d'une nouvelle grande attaque : celle-ci était fixée au 3 septembre. Le temps s'était mis à la pluie ; et la boue, cette fameuse boue de la Somme, qui devait rester légendaire, commençait à faire parler d'elle.
les gars d'la 106 RAL
Le 12, grande attaque des Français entre Morval et la Somme toute la première ligne ennemie est emportée, les objectifs sont dépassés par une troupe admirable d'ardeur, et Bouchavesnes succombe; on menace maintenant Péronne par le nord. Enfin, le 15, les Anglais de Rawlinson, à leur tour, s'élancent sur un front de 10 kilomètres. Là, pour la première fois, font leur apparition, sur le champ de bataille, « d'énormes, de terrifiantes machines qui, vomissant le feu par toutes leurs ouvertures, gravissent en courant les pentes les plus abruptes, renversent tous les obstacles, traversent en se jouant les plus solides défenses, les réseaux de fil de fer les plus inextricables, les nids de mitrailleuses les plus meurtriers, broyant tout, écrasant tout, semant partout l'émerveillement, l'épouvante et la mort: ce sont les tanks, ou chars d'assaut, qui, perfectionnés et multipliés, couronneront un jour la totale défaite allemande. » Le combat dura trois jours, et le « tableau en fut magnifique : avec 4000 prisonniers, Courcelette, Martinpuich, le bois des Fourcaux, le village de Flers. Et, à cette même date du 17, la 1e Armée française prenait Vermandovillers et Berny. Les combats, cependant, il faut bien le reconnaître, devenaient de plus en plus difficiles. Le temps était franchement mauvais : pluie, pluie, pluie, et, de plus en plus, des flots de boue : la bataille « s'enlisait » Et puis, aussi, l'ennemi réagissait avec un courage et un entêtement auxquels on est bien obligé de rendre éloge, surtout pendant ces batailles de septembre...
...Certes, rien de tout cela n'eût été capable d'arrêter les fantassins de France : le 25 septembre encore, dans un élan irrésistible, ils emportaient Rancourt
Et, le 26 enfin, journée glorieuse : les deux Armées se donnaient la main dans Combles.
Pierre Loti, qui visita « l'enfer de la Somme », a écrit, sur ces paysages sinistres, quelques pages saisissantes qu'on voudrait pouvoir citer toutes : « ... Par degrés, nous pénétrons dans ces zones inimaginables à force de tristesse et de hideur, que l'on a récemment qualifiées de lunaires. La route, réparée en hâte depuis notre récente avance française, est encore à peu près possible, mais n'a, pour ainsi dire, plus d'arbres de l'allée d'autrefois restent seulement quelques troncs, pour la plupart fracassés, déchiquetés à hauteur d'homme ; et, quand au pays à l'entour, il ne ressemble plus à rien de terrestre : on croirait plutôt, c'est vrai, traverser une carte de la Lune, avec ces milliers de trous arrondis, imitant des boursouflures crevées. Mais, dans la Lune, au moins, il ne pleut pas ; tandis qu'ici tout cela est plein d'eau à l'infini, ce sont des séries de cuvettes trop remplies, que l'averse inexorable fait déborder les unes sur les autres ; la terre des champs, la terre féconde, avait été faite pour être maintenue parle feutrage des herbes et des plantes; mais, ici, un déluge de fer l'a tellement criblée, brassée, retournée, qu'elle ne représente plus qu'une immonde bouillie brune, où tout s'enfonce. Çà et là, des tas informes de décombres, d'où pointent encore des poutres calcinées ou des ferrailles tordues, marquent la place où furent les villages »
photographie nous montrant le début de l'assaut après le bombardement préparatoire. La fumée n'est pas encore dissipée que les signaleurs, munis de leurs fanions et arrivés et arriver sur les parapets de la première ligne allemande, font signe à notre artillerie d'allonger son tir.
source : - somme curlu , Régiment
vendredi 23 septembre 2016
les trois derniers maires de notre communes
juin 1995 | mars 2008 | André Boulant | SE | Chauffeur laitier |
mars 2008 | mars 2014 | Jean-Marie Bois | SE | Agriculteur |
mars 20141 | en cours | Marc Simon | SE | Artisan |
André Boulant
Natif de la commune, il a siégé au conseil municipal durant trente-et-une années de 1977 à 2008.Il avait été élu maire pendant les deux derniers mandats (1995-2008)
Jean-Marie Bois
Jean-Marie Bois Dix-neuf ans élu : deux mandats d'adjoints, et un mandat de maire de mars 2008 à mars 2014.
Depuis mars 2014 Marc Simon (Artisan)
dimanche 4 septembre 2016
Août et septembre
Vide grenier dimanche 4 septembre à Sainte opportune
Le Comité des fêtes de Ste-Opportune organise son vide-greniers dans le bourg le dimanche 4 septembre de 6 h 30 à 19 h.
buvette
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Monsieur André BOULANT
L’ancien maire, André Boulant, est décédé dimanche 21 Août à l’âge de 74 ans. Natif de la commune, il a siégé au conseil municipal durant trente-et-une années de 1977 à 2008.
Il avait été élu maire pendant les deux derniers mandats (1995-2008). Cet ancien chauffeur laitier avait décidé de ne pas se représenter. Il avait alors déclaré avant les élections : « Je vais avoir 66 ans, il faut savoir s’arrêter. »
Jean-Marie Bois, son successeur, avait souligné dans nos colonnes en 2009 : « André, sachant que toi par nature tu as horreur du vide, tu t’es mouillé pour proposer aux électeurs une équipe nouvelle, plus conforme aux réalités sociologiques de la commune en réunissant des ouvriers, des cadres, agriculteurs, jeunes et plus anciens avec une plus grande représentation féminine, ce qui nous permet d’avoir la parité dans l’équipe d’aujourd’hui »
La cérémonie religieuse a eu lieu le mercredi 24 août 2016,
en la basilique des Tourailles, suivie de son inhumation au cimetière de Ste-Opportune.
en la basilique des Tourailles, suivie de son inhumation au cimetière de Ste-Opportune.
Toutes nos sincères condoléances à sa famille et à ses amis.
mardi 16 août 2016
il y a 72 ans
Il y a 72 ans les journées du 17 et 18 Août 1944 furent le théâtre de combats pour la libération de notre région et de notre commune de Durcet par les troupes anglaises.
Dans la zone encerclée par les armées alliées, la 7ème armée allemande et la 5èmePanzerarmee tentent de se replier en bon ordre derrière la Seine. Mais pour ce faire, ils doivent quitter la poche qui se referme lentement sur eux. De nombreuses unités parviennent à se replier, car l’encerclement n’est pas total, et un large couloir de neuf kilomètres persiste dans la région de Chambois, objectif de la 1ère division blindée polonaise et de la 4ème division blindée canadienne. La 2ème division blindée française participe également à l’encerclement et progresse au nord d’Ecouché, face à la 116ème division blindée allemande. Le 17 août, la porte de sortie de la poche d’encerclement où sont piégés les Allemands du groupe d’armées B est large de 16 kilomètres et longue de 32 kètres.
Les Allemands sont bombardés de manière continue, jour et nuit. Les aviateurs et les artilleurs alliés attaquent sans relâche les divisions de la Wehrmacht et desPanzer qui se replient vers l’est en direction de la Seine.
Malgré la situation désastreuse pour les forces allemandes, leur repli est extrêmement rapide : en cette seule journée du 17 août, près d’un tiers des forces de l’Axe encerclées sont parvenues à sortir du chaudron.
la 7ème Armée allemande, dont le poste de commandement est déplacé au Chênedouit, dix kilomètres à l’ouest de Putanges. Dans une puissante poussée, la 1st US Army remonte par Domfront et Bagnoles-de-l’Orne. La 9th US Infantry Division du General Eddy entre dans Briouze, après avoir repoussé une arrière-garde de la 9. SS-Panzer-Division Hohenstaufen et de la 708. Infanterie-Division.
près d'un bâtiment à Landigou, un officier du"Hereforshire" consultait sa carte et préparait l'attaque sur Ste Opportune pour sa libération.
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Malgré la situation désastreuse pour les forces allemandes, leur repli est extrêmement rapide : en cette seule journée du 17 août, près d’un tiers des forces de l’Axe encerclées sont parvenues à sortir du chaudron.
la 7ème Armée allemande, dont le poste de commandement est déplacé au Chênedouit, dix kilomètres à l’ouest de Putanges. Dans une puissante poussée, la 1st US Army remonte par Domfront et Bagnoles-de-l’Orne. La 9th US Infantry Division du General Eddy entre dans Briouze, après avoir repoussé une arrière-garde de la 9. SS-Panzer-Division Hohenstaufen et de la 708. Infanterie-Division.
lundi 15 août 2016
Mort pour la france
Nom Prénoms | Conflit | Date & lieu de décès | Médailles | Sépulture |
1914-1918 | 07/09/1914 Rembercourt-aux-Pots (55) | |||
1914-1918 | 04/04/1917 Orléans (45) | |||
1914-1918 | 12/10/1914 Bar-le-Duc (55) | |||
1914-1918 | ||||
1914-1918 | 04/03/1918 Gumendze-Ville Grèce | |||
1914-1918 | 07/09/1914 Rembercourt-aux-Pots (55) | |||
1914-1918 | 18/09/1914 Rembercourt-aux-Pots (55) | |||
1914-1918 | 31/10/1914 Fontenoy (02) | |||
1914-1918 | 20/09/1916 Curlu (80) | |||
1914-1918 | 31/10/1916 Sailly-Saillisel (80) | |||
1914-1918 | 04/06/1918 Belgique | |||
1914-1918 | 07/05/1917 Moronvilliers (51) | |||
1914-1918 | ||||
1939-1945 | 17/05/1943 Neheim Allemagne | |||
1914-1918 | 12/08/1918 Conchy-les-Pots (60) | |||
1914-1918 | 26/05/1915 Aix-Noulette (62) | |||
1914-1918 | 06/06/1918 Nouvron-Vingré (02) | |||
1914-1918 | 09/07/1915 Auchel (62) | |||
1939-1945 | ||||
1914-1918 | ||||
1914-1918 | 22/08/1914 Ethe, province de Luxembourg Belgique | |||
1914-1918 | 26/10/1915 Neuville-Saint-Vaast (62) | |||
1914-1918 | ||||
1939-1945 | ||||
1939-1945 | 01/06/1940 Zuydcoote (59) | |||
1914-1918 | 30/08/1918 Bourges (18) | |||
1914-1918 | ||||
1914-1918 | 26/06/1918 Scherpenberg Belgique |
1939 - 45
Marcel PIERRE
Raymond LERRIEUR
Roland PETRON
Sur le monument au morts de sainte opportune
Alfred ONFRAY
Paul HUET
Ulysse DUGUE
Almir FERET
Wladimir DUVAL
Germain BERENGER
Leopold FOUCHER
Emilien LEBRETON
Cyrille PESCHET
Luo GRIMBERT
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